mardi 26 janvier 2010
Le Sommet de Copenhague, envie de savoir ce qui s’est vraiment déroulé et envie de connaître la suite?
Ours polaires sur glaces éphémères
mardi 19 janvier 2010
Conférence sur Copenhague
Que s’est-il vraiment passé à Copenhague ?
Que penser de la dernière conférence internationale sur le climat ?
Midis de l’Institut EDS
21 janvier 2010, 11h45 à 13h00
Salle (2320-2330), Pavillon Kruger, Université Laval
Lieu : Salle Kruger (2320-2330), pavillon Gene-H.-Kruger, Université Laval
Date : jeudi 21 janvier 2010, 11h45 à 13h00
Philippe Le Prestre
Directeur de l’Institut EDS de l’Université Laval et spécialiste de l’écopolitique internationale,
lancera le débat et mènera une réflexion collective sur le «sens» de Copenhague.
Yan Turgeon
Rédacteur en chef d’Objectif Terre*, présent à Copenhague en décembre,
agira comme modérateur.
vendredi 4 décembre 2009
Près de 3 Québécois sur 4 croient que le gouvernement canadien n’en fait pas assez dans le dossier des changements climatiques
Pour diffusion immédiate
Sondage Léger Marketing – Équiterre
Montréal, le 4 décembre 2009 – Les citoyens du Québec sont convaincus que le dossier des changements climatiques ne fait pas partie des priorités du gouvernement canadien. En effet, interrogés par la firme Léger Marketing pour le compte d’Équiterre à quelques jours du Sommet de Copenhague, 71% des Québécois ont indiqué que le Canada « n’en faisait pas assez » pour lutter contre les changements climatiques.
« Ce ne sont pas seulement les groupes environnementaux qui veulent que le gouvernement fédéral en fasse plus en matière de changements climatiques mais bien une forte majorité des Québécois », explique Hugo Séguin, coordonnateur choix collectifs chez Équiterre. « Le Canada fait partie des 10 plus grands émetteurs de gaz à effet de serre du monde, un titre peu reluisant avouons-le. Il est temps que Monsieur Harper écoute et réponde aux inquiétudes de la population sur la question des changements climatiques », a-t-il ajouté.
Rappelons que le Canada s’est donné un objectif de réduction des émissions de CO2 de seulement 3% d’ici 2020 sous les niveaux de 1990, l’objectif le plus bas parmi les pays industrialisés, et qu’aucune loi ou réglementation n’est présentement mise en place pour parvenir à cet objectif.
La question a été posée par la firme Léger Marketing pour le compte d’Équiterre du 23 au 25 novembre 2009, dans le cadre d’un sondage web, auprès d'un échantillon représentatif de 1008 Québécois(es), âgé(e)s de 18 ans ou plus et pouvant s'exprimer en français ou en anglais. À l'aide des données de Statistique Canada, les résultats ont été pondérés selon le sexe, l’âge, les régions, la langue parlée à la maison, la scolarité et la présence d’enfants dans le ménage afin de rendre l'échantillon représentatif de l'ensemble de la population à l’étude. Un échantillon probabiliste de cette taille présenterait une marge d’erreur maximale de ±3,09%, 19 fois sur 20.
lundi 9 novembre 2009
Il est temps de passer à l'action !
Le Canada est l’un des dix plus grands pollueurs de la planète. Plutôt que de s’engager dans la lutte pour le climat, le gouvernement canadien nuit aux négociations et continue de soutenir les pétrolières de l’Alberta.
Vous pouvez agir! Exprimez-vous! Demandez au gouvernement Harper des actions concrètes pour lutter contre les changements climatiques.
Voici quelques actions que vous pouvez poser :
Participez à notre campagne d’envoi gratuit de cartes postales à un député fédéral conservateur de la région de Québec et Chaudière-Appalaches. Vous pouvez vous procurer des cartes postales à distribuer, signer et expédier en écrivant à pbluteau@equiterre.org. Visualisez la carte postale à commander en format PDF.
Faites signer notre pétition régionale qui sera déposée à la Chambre des communes.
Pétition en format PDF
Envoyer une lettre par courriel à un député fédéral conservateur de la région de Québec et Chaudière-Appalaches en cliquant sur ce lien http://www.votrevoteleuravenir.ca/
Passez un coup de fil au premier ministre Harper
Faites part de vos préoccupations au premier ministre. Dites-lui combien le temps presse.
Téléphonez au 1 866 599-4999
* Une fois la communication établie, demandez la boîte vocale du premier ministre. *
Informez-vous
Équiterre a créé un blogue pour vous informer des initiatives, actualités et enjeux relatifs au prochain Sommet des Nations unies à Copenhague.
Une mine d’information et un lieu d’échanges à découvrir et à partager!
www.equiterre.org/copenhague
Impliquez-vous
Vous souhaitez nous aider et agir sur le terrain ?
Équiterre est toujours à la recherche de bénévoles motivés à participer à ses plans d’action. Pour obtenir de l’information, contactez notre bureau de Québec au pbluteau@equiterre.org.
samedi 7 novembre 2009
Idées d'action pour la campagne contre les changements climatiques
LE CANADA À BARCELONE : PAS UN BON JOUEUR
Communiqué de presse
Pour diffusion immédiate
Barcelone, le 6 novembre 2009 – Cette semaine, pendant les négociations internationales sur le climat à Barcelone, le Canada a joint sa voix à celle des États-Unis pour dire au reste du monde qu’il souhaite qu’une éventuelle entente sur le climat soit moins ambitieuse, moins contraignante et moins équitable.
« Le Canada a changé son discours. Plutôt que promettre encore et encore de sévir contre les pollueurs, il dit maintenant qu’il va punir les gens les plus pauvres au monde, alors qu’il œuvre pour bloquer une entente ambitieuse sur le climat », explique Steven Guilbeault d’Équiterre. « Si c’est cela que le ministre Prentice veut dire quand il affirme qu’il ne compte pas être « un bon joueur » dans les négociations, alors les écosystèmes de la planète sont en grave danger », ajoute-t-il.
« C’est évident que le gouvernement canadien agit pour les intérêts de l’Alberta et de l’industrie des sables bitumineux », explique Graham Saul de Réseau action climat Canada. « Les négociateurs canadiens ne font que mettre des bâtons dans les roues », ajoute-t-il.
Malgré tout, l’optimisme demeure. Les éléments nécessaires à la conclusion en décembre à Copenhague d’une entente équitable, ambitieuse et légalement contraignante sont toujours sur la table. La science souligne que tout accord doit impérativement limiter la hausse globale des températures à 2 degrés Celsius, et que les émissions globales doivent atteindre un pic en 2015, tel que stipulé dans le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur le climat.
L’entente devra aussi prévoir du financement de la part des pays développés pour l’adaptation de même que des efforts équitables de réduction des émissions de la part des pays en voie de développement.
« Le Canada a encore le temps de tenir les promesses qu’il fait depuis des années », affirme Dale Marshall de la Fondation David Suzuki. « Cela implique de mettre en place des règlements basés sur les plus solides connaissances scientifiques disponibles, pour lutter contre les changements climatiques, », conclut-il.
« Le gouvernement canadien a prouvé qu’il n’a pas l’intention d’être un bon joueur dans ces négociations d’une importance cruciale. Il sait pourtant très bien ce qui doit être fait pour arriver à une entente à Copenhague : s’atteler à la tâche et se donner un plan d’action ambitieux pour lutter contre les changements climatiques », explique Virgine Lambert Ferry de Greenpeace Canada.
Pour des entrevues, merci de contacter :
Marie-Ève Roy, Équiterre, mroy@equiterre.org
+34 644 545 704
Pour plus d’information et pour les communiqués de presse :